Kelys Donovann Andrews ▬ Pour que la vie soit douce

K : « Bien le bonjour belle enfant, puis je prendre place »
A : « EUHH oui … »

K : « Je préfère observer un sourire sur votre visage qu’une mine triste Jolie Alice, vous voulez reprendre mon analyse morale, bien ma douce comme vous voudrez, qu’avez-vous marqué sur votre feuille, Junkie, Colérique, Charmeur … Vous me trouvez Charmeur, mais qui ne le serait pas en votre présence ma douce amie, que voulez vous savoir de plus sur ma personne Blondinette ? Vous ais-je dis que j’aime jouer à cache-cache, et j’aime les défis que notez-vous, Joueur très bien, oui cela me conviens, oui j’aime regarder les nuages allongé dans l’herbe, comment le savez vous ma douce ? M’observez-vous depuis un moment ? Que me demandez-vous ? »
A : « Es que vous pourriez me racontez un moment marquant de votre Vie Kelys Andrews »
K : « Cela fait un moment que nous sommes ensemble Miss Alice, vous pouvez m’appeler Kel’ voyons, nous sommes bien amis non ? Un moment marquant de ma tendre vie, mais rien ne m’a marqué ma jolie, à si bien sûr comment ai-je pus oublier cela, vous ais je parler de mes parents mon petit papillon ? Non bien je vais vous en dire plus, ma famille est composée de 3 membres mes parents et moi , j’avais une cousine nommée Vénusia, elle était aussi belle qu’une marguerite en plein soleil, mais j’avoue avoir butiné avec elle se qui ne plut guerre à ma très chère tante, mais ma jolie cousine je se plaignais pas de ma présence ni de nos actions, je lui ai fait découvrir l’endroit comme l’envers des capacités humaines, je lui ai procuré le plaisir juvénile des adolescents, mais ma tante, ne me l’a toujours pas pardonné, avoir dévergondé sa petite princesse, ne fut guerre à son gout, depuis mon passage il n’y a tout le pays qui s’est aussi amusé avec la jolie Venus’, que dit vous ? Vous me trouvez trop impersonnel ? Voyons ma douce, comment ça vous trouvez mon histoire pas du tout à votre goût, je suis quoi ?... des mots comme ceux-ci dans votre bouche me peine ma jolie, vous dites que je suis Susceptible … Et bien oui je le suis ! Et votre interrogatoire commence à m’ennuyer ma jolie ! »

K : « Voyons ma douce, vous représentez l’innocence, et la pureté de l’enfance, je ne pourrai vous aider à tenir cette image, mais quand se sera fait n’oubliez pas de venir me rendre visite je vous ferez planer comme jamais, en tout bien tout honneur »